Ajoutez un logo, un bouton, des réseaux sociaux
Images de la page d'accueil
Le Mouvement associatif, en partenariat avec le RNMA et Recherches & Solidarités, ont publié les résultats du troisième volet de l’enquête sur l’impact de la crise sanitaire sur les associations.
Au total 10 000 associations, dont près de 585 en Normandie , ont témoigné de leur situation, des impacts de la crise sur leur organisation, le bénévolat, le déroulement des activités, leurs préoccupations immédiates et leurs besoins.
A cette occasion, un webinaire de présentation des résultats et des initiatives prises par les associations pour s’adapter à un contexte changeant et incertain depuis plus d’un an a été organisé le mardi 8 juin à 17h.
La crise sanitaire du coronavirus a obligé les associations à adapter leurs activités et leur façon de travailler. Ce contexte inédit est emprunt de beaucoup d'incertitudes et de changements. Le Mouvement associatif de Normandie s'est employé à rester actif pendant toute cette période afin d'apporter son soutien aux associations Normandes
Quelle est la situation des associations depuis le déconfinement ? Pour le savoir, Le Mouvement associatif et le RNMA, en lien avec Recherches et Solidarités et la DJEPVA et en partenariat avec le CNEA et France Générosités, ont mené durant un mois une enquête auprès des responsables associatifs.
Les résultats de l’enquête, à laquelle 13 500 associations ont répondu, permet de prendre la mesure de l’impact économique de la crise sanitaire et des besoins à venir des associations, en mettant en lumière notamment ces 5 points :
Plus des deux tiers des associations ont fonctionné à moins de 20% de leur activité normale sur la période du confinement. Les plus touchées par cette mise à l’arrêt sont les petites associations culturelles, sportives (9/10 d’associations à l’arrêt) ou encore l’éducation populaire et l’animation.
Le premier effet de la crise sur les associations est de les laisser dans une grande incertitude quant à leur avenir. Près d’1/3 des associations disent manquer de visibilité à court et moyen terme sur le plan financier.
Et pour certaines plus avancées, les perspectives sont mauvaises : 16% des associations n’exécuteront leur budget qu’à 40% ou moins et 2% n’excluent pas un dépôt de bilan. Cela représente, par projection, près de 30 000 associations, dont l’existence est donc menacée.
L’impact économique de la crise est plus fort sur les associations employeuses et ce n’est pas sans conséquence.
2/3 des associations ont toujours recours au chômage partiel. 40% d’entre elles souhaitent même maintenir le chômage partiel le plus longtemps possible.
Il est également à noter qu’elles sont 33% à craindre de ne pas pouvoir maintenir leur effectif salarié en l’état et 20% à témoigner d’un risque de report de recrutement.
Les associations expriment de façon quasi unanime le besoin de reprise d’une activité normale, mais dans de bonnes conditions et avec la garantie de soutien financier. En effet, elles attendent à la fois des moyens techniques (moyens de protection, outils de maintien de la vie associative à distance, aide à la communication) et des moyens financiers (confirmation des subventions, maintien d’une aide financière exceptionnelle, besoin de dons)
Les dispositifs d’Etat jugés peu adaptés pour bon nombre d’organisations, elles se tournent naturellement vers les aides territoriales, plus proches de leurs spécificités. Une association sur 2 prévoit à court terme de solliciter un soutien de la part de leur région, département ou encore intercommunalité
Aujourd’hui, à l’heure du déconfinement, est lancée une nouvelle enquête. Le déconfinement tant attendu est forcément progressif et difficile pour éviter une recrudescence de la contagion. Cette fois, il vous est proposé de vous exprimer, dans ces circonstances nouvelles signifiant pour vous une éventuelle reprise progressive d’activité de votre association. Elle s’adresse aux membres du bureau ou du conseil d’administration, ou encore dirigeants salariés d’une association
Les réponses seront essentielles pour continuer de témoigner des difficultés rencontrées par les associations au niveau national, par secteurs, ainsi qu’à échelle territoriale.
Cette enquête du Mouvement associatif (et ses membres) et du Réseau National des Maisons des Associations a été construite avec l’appui de Recherches & Solidarités, en lien avec la Direction de la jeunesse, de l’éducation populaire et de la vie associative du Ministère de l’éducation nationale et de la jeunesse et en partenariat avec le CNEA et France Générosités
Lien vers la nouvelle enquête : https://www.modalisa9-drop.com/covid19x2_380773AA2E/EnqueteCOVID19x2_Home.html
COVID-19 : ANALYSE DES MESURES RÉGIONALES
Afin de faire face aux conséquences économiques de la crise, les Régions ont pris des mesures, soit seules, soit avec l’Etat, Bpi France et les consulaires. Au total, plus d’un milliard d’euros a été mobilisé en propre par les Régions au profit des acteurs économiques sur tous les territoires. Les associations peuvent solliciter les principaux dispositifs à destination des autres entreprises. Toutefois les critères d’éligibilité peuvent varier en fonction de leur statut (employeuse ou non) ou encore en fonction du secteur d’activité. Par ailleurs, les 3/4 des régions ont développé des mesures spécifiques au secteurs associatif.
Mardi 21 avril, Gabriel Attal annonçait devant l’Assemblée nationale des engagements du Gouvernement pour le maintien des subventions aux associations, devant se traduire par une circulaire du Premier Ministre. 15 jours plus tard, toujours aucun signe de Matignon ! Et cela alors que les associations continuent à se heurter à de multiples difficultés dans l’accès aux différents dispositifs d’aides.
Très vite après le début du confinement, au regard de l’impact immédiatement mesuré sur de nombreuses activités associatives, Le Mouvement associatif a demandé que des engagements soient pris de la part des pouvoirs publics sur la gestion des subventions, en termes de versement (accélération du versement des avances 2020 et des soldes 2019) et de maintien des montants alloués, en prenant en compte les aléas issus de la crise.
Plusieurs collectivités territoriales ont d’ores et déjà pris des engagements en ce sens. En revanche, le texte annoncé par le Gouvernement n’est toujours pas paru, laissant de nombreuses associations dans l’incertitude et dans l’incapacité de se prévaloir de ces mesures auprès de leurs interlocuteurs.
Ce, alors que des services déconcentrés de l’Etat commencent à faire part de possibles mesures de réduction budgétaire compte tenu des coûts engendrés par la crise.
Le tissu associatif, sur lequel les pouvoirs publics sont bien heureux de s’appuyer dès qu’il s’agit de répondre aux difficultés, se retrouve fortement fragilisé. Cela n’est pas acceptable !
Cela l’est d’autant moins que l’accès aux dispositifs de mesures d’urgence de droit commun (Prêt garanti par l’Etat, fonds de solidarité, chômage partiel) reste difficile pour les associations employeuses et impossible pour les non-employeuses, quand bien même elles ont des charges fixes à supporter et génèrent de l’activité économique. Ainsi, des associations se voient refuser l’accès au Fonds de solidarité au prétexte qu’elles ne payent pas d’impôts (ce qui est le cas d’une très grande majorité d’associations compte tenu de leur but non lucratif), alors que ce n’est pas un critère posé par les textes. Le Gouvernement a été alerté, mais là encore les arbitrages se font attendre.
Outre ces mesures dont les associations ont besoin en urgence, et en complément des mesures sectorielles annoncées dont on attend que le monde associatif soit pleinement bénéficiaire (sport, tourisme, culture…), il demeure nécessaire de mettre rapidement en place un fonds de soutien dédié permettant de couvrir des pans entiers de la vie associative qui ne rentrent dans aucune catégorie sectorielle ou qui ne font l’objet d’aucune mesure spécifique.
Le 28 avril, le Premier ministre s’est exprimé, à l’Assemblée nationale, sur les conditions de mise en œuvre du déconfinement à compter du 11 mai prochain.
Les 55 organisations qui composent le Pacte du pouvoir de vivre ont constaté que de trop nombreuses personnes ont été oubliées dans ces annonces : demandeurs d’emploi, sans-abris, ménages et jeunes en difficultés, migrants, décrocheurs scolaires… cela représente des millions de personnes.
Des sujets essentiels du déconfinement n’ont pas été abordés : accès aux soins, modes de transport, conditionnalité des aides aux grandes entreprises, extinction des mesures d’urgence, cadre démocratique, écologique et social du plan de relance économique.
C’est pourquoi les 55 organisations du Pacte du pouvoir de vivre – associations, syndicats, fondations, mutuelles – ont décidé d’adresser au Premier ministre les 15 mesures indispensables à mettre en œuvre dès la fin du confinement.
DU DIAGNOSTIC AUX MESURES D’URGENCE
La vague de solidarité et de mobilisation à laquelle nous assistons est la manifestation d’une prise de conscience. Derrière les applaudissements quotidiens, on ne compte plus les organisations informelles de quartier pour faciliter la livraison de courses ou la garde d’enfant. De nombreuses plateformes ont vu le jour pour mettre en contact les personnes ayant besoin d’aide et les volontaires prêts à s’engager. Cette crise sanitaire traduit un besoin général de solidarité et de lien social, autant pour ceux dans le besoin, que pour ceux qui veulent retrouver ce lien, en donnant de leur temps et de leur énergie pour aider. Beaucoup redécouvrent qu’une citoyenneté active est possible et qu’elle est à leur portée. Cet esprit de solidarité est l’essence même du secteur associatif, qui maintient et renforce le lien social. La présente note vise à rendre compte de ce qui se passe côté associatif depuis mi-mars alors que nous traversons une crise inédite.
La crise sanitaire actuelle et le confinement qu’elle impose, impactent grandement l’activité des associations. Mais à quel point ?
Pour mieux appréhender ces impacts et avoir des données précises à faire remonter aux pouvoirs publics,
Le Mouvement associatif, en lien avec le RNMA et avec l’appui de Recherches & Solidarités, a lancé le 20 mars une enquête flash de 20 questions s’adressant prioritairement aux responsables associatifs bénévoles ou salariés.
Un très grand nombre d’associations a déjà répondu à l’enquête. Ce qui dénote de la grande mobilisation des acteurs associatifs et permet d’ériger un premier bilan constatant les forts impacts de la crise sur l’activité associative mais aussi la profonde volonté des association de continuer à œuvrer en cette période.
Plus les réponses seront nombreuses, plus l’état des lieux réalisé sera précis et exhaustif.
En mai, une seconde enquête plus détaillée sera lancée
FOCUS SUR LES RESULTATS EN REGION NORMANDIE:
Dès le 20 mars dernier, le Mouvement associatif, sur le plan national et dans la région Normandie, s’est mobilisé pour donner la parole aux responsables des associations : au 1er avril, 628 d’entre eux se sont exprimés, dans la région, parmi 16.175 réponses sur le plan national.
Cette enquête mise en œuvre par l’association Recherches & Solidarités, spécialisée et active dans ce domaine depuis près de 15 ans et partenaire du Mouvement associatif et des pouvoirs publics, donne de précieuses informations sur plusieurs points essentiels.
Retrouvez cette infographie sous format PDF – Premiers résultats en région Normandie
Enquête #Covid-19 : quels impacts sur votre association ?
Analyse des résultats normands et retours de fédérations :
628 réponses sont arrivées en deux semaines (20 mars/2 avril), ce qui est un exploit comparé à toutes les enquêtes que nous avons pu faire précédemment.
C’est aussi l’indicateur d’une inquiétude et d’une volonté de participer collectivement pour mesurer l’impact du Covid 19 et trouver des solutions pour y remédier.
Environ la moitié des réponses (47 %) le sport s’est fortement mobilisé, ce qui reflète l’importance de ce domaine en Normandie. Avec 16 % de répondants, les loisirs (tourisme social, activités socio-culturelles…) ont aussi bien participé à l’enquête. Là, aussi, cela rejoint les statistiques sur la vitalité culturelle de notre région. Enfin, les acteurs de la culture rejoignent le trio de tête, avec 11 % des répondants.
46 % des associations répondantes n’ont pas de salariés et 36 % ont entre 1 et 5 salariés, avec pour 31 % d’entre elles un budget à moins de 100 000 euros. Enfin, 76 % des associations répondantes sont fédérés. C’est une bonne représentativité de la diversité associative normande.
Il est encore possible de répondre à l'enquête jusqu'au 11 avril : http://enquetesv2.recherches-solidarites.org/detail/COVID-19/
Pour aller plus loin, vous trouverez ci-dessous :
COVID-19 : LES ASSOCIATIONS FORTEMENT IMPACTÉES MAIS TOUJOURS ACTIVES
La crise sanitaire que nous vivons et ses différents impacts dans nos vies rappellent à quel point la solidarité, l’entraide, l’intérêt général sont des valeurs primordiales dans nos sociétés. Des valeurs que les associations continuent de porter et de diffuser, malgré le lourd impact de la crise sur leurs activités sociales et économiques.
Outre les conséquences dramatiques en terme sanitaire, le COVID-19, par le confinement qu’il impose, est facteur et démultiplicateur d’inégalités et d’exclusion. Les personnes vulnérables, en situation précaire, victimes de violences conjugales, sans domicile fixe, pour ne donner que ces exemples parmi tant d’autres, ne doivent pas être oubliées dans la gestion de cette crise. De nombreuses initiatives associatives et citoyennes ont ainsi vu le jour pour y remédier. De même, un certain nombre d’associations ont choisi de poursuivre sur le terrain dans la mesure du possible leurs activités de première nécessité.
Car il s’agit là du rôle intrinsèque des associations : agir ensemble et faire lien.
Pour autant, ce travail nécessaire, prioritaire, ne doit pas dissimuler les lourdes conséquences de la crise sur les associations. Pour preuve, l’enquête lancée le 20 mars dernier par Le Mouvement associatif, en lien avec RNMA et conduite par Recherches et Solidarités et qui a récolté en 10 jours près de 12 000 réponses. On y apprend en effet que 70% des associations ont dû suspendre leurs activités habituelles (hors cas des associations mobilisées sur les activités de première nécessité) et que plus de 40% d’entre elles indiquent prévoir à 6 mois une perte de revenus d’activité significative et des difficultés de trésorerie liées à des reports d’activités ou de financement. Les inquiétudes sur le maintien des partenariats financiers, publics ou privés, sont fortes.
Malgré ce coup d’arrêt à leurs activités économiques, les associations continuent d’agir pour la cohésion sociale. Elles trouvent des solutions pour maintenir le lien social et ainsi pallier le risque d’isolement auquel tout individu peut actuellement être confronté. 80% d’entre elles maintiennent des liens à distance avec leurs bénévoles dans un esprit de solidarité, et elles sont nombreuses à rester en contact avec les bénéficiaires de leurs actions. D’ailleurs, 40% réfléchissent, ou ont déjà mis en place, des activités de substitution pour continuer à agir à distance.
Pour pouvoir poursuivre leurs activités essentielles, pendant la crise mais surtout être en capacité de continuer à les mener après, il est indispensable que les associations soient soutenues.
Le Mouvement associatif a plaidé pour que, au même titre que les entreprises, elles puissent bénéficier des mesures d’aide dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire, pour les activités économiques qu’elles portent. Une demande qui a été entendue. En effet, la loi et les ordonnances qui en découlent, indiquent clairement que les associations peuvent avoir accès aux dispositions économiques, et en tant qu’employeuses aux dispositifs liés à l’activité partielle.
Ces dispositions ne permettent cependant pas de répondre à toutes les inquiétudes des acteurs associatifs, et notamment à celles liées au maintien des financements publics, qu’ils proviennent de l’Etat ou des collectivités territoriales, dans une perspective de moyen terme, et alors que les programmes d’actions devront être largement revus. Le Mouvement associatif souhaite que des engagements fermes soient pris très rapidement par le Gouvernement, dans une logique inter-ministérielle, et par les collectivités territoriales, pour sécuriser ces financements indispensables à la pérennité du tissu associatif et de ses capacités d’action.
Il faudra également des mesures pour répondre à la diminution importante des ressources issues des dons et du mécénat à laquelle beaucoup d’associations risquent d’être confrontées.
Enfin, il sera très vite temps de penser à l’après. Le Mouvement associatif, comme il le fait depuis des années, appelle à une profonde transformation des approches économiques et sociales, pour bâtir une société plus durable, plus juste et plus solidaire. Les associations ont un rôle fondamental à jouer dans ces transformations. Actrices d’une économie non lucrative, sociale et solidaire, elles seront un acteur central indispensable pour la réparation des dégâts humains et sociaux que la crise sanitaire provoque, comme elles sont aujourd’hui le premier acteur des solidarités de proximité, engagées dans l’effort national de lutte contre la pandémie.
https://lemouvementassociatif.org/wp-content/uploads/2020/03/COVID-Essentiel-01-04-2020-bis.pdf
http://enquetesv2.recherches-solidarites.org/detail/COVID-19/
Depuis le début de la crise du COVID-19, vous êtes plusieurs à interroger le Mouvement associatif de Normandie pour mieux organiser votre association dans ce contexte exceptionnel.
Aides, subventions, vie statutaire, bénévolat, volontariat… vos interrogations sont nombreuses et précises.
Aussi, Le Mouvement Associatif Normandie a choisi de publier les questions les plus fréquentes qui lui sont posées et dont la réponse peut intéresser le plus grand nombre d’associations.
La foire aux questions qui sera actualisée au fil des évolutions et des nouvelles questions, est rédigée en lien avec les différents partenaires, en particulier France générosités qui a travaillé une analyse juridique des dernières ordonnances parue
Quelles sont les conséquences de l’épidémie Covid-19 sur l’activité de votre association ? De quels soutiens et accompagnements avez-vous besoin pour faire face ? Pour le savoir, Le Mouvement associatif lance une enquête avec l’appui de Recherches et Solidarités.
Le Mouvement associatif s’appuiera sur les réponses pour plaider la cause du secteur associatif auprès des pouvoirs publics.
L’objectif est d’obtenir des mesures exceptionnelles de soutien afin de permettre aux associations, déjà fragilisées par le passé, de faire face à la situation actuelle et de préparer la relance de l’activité.
Plus les réponses seront nombreuses, plus l’état des lieux sera précis et exhaustif, et plus notre plaidoyer aura du poids.
Alors, associations, répondez à cette enquête de 20 questions et invitez votre réseau à y répondre également.
http://enquetesv2.recherches-solidarites.org/detail/COVID-19/
COVID-19 : ASSOCIATIONS, FAIRE FACE À LA CRISE
Depuis plus d’une semaine, Le Mouvement associatif de Normandie se mobilise pour permettre aux associations de faire face à la crise sanitaire causée par le Coronavirus Covid-19. Aujourd’hui, nous poursuivons cette mobilisation en proposant une page spéciale COVID-19 pour informer et accompagner de façon continue et directe les structures associatives face à cette épreuve.
Cette page mise à jour régulièrement :
Parallèlement à ce travail d’information, Le Mouvement associatif poursuit activement son interlocution avec le Gouvernement.
https://lemouvementassociatif.org/covid-19-associations-faire-face-a-la-crise/#
La vie associative une richesse locale
Le Mouvement associatif de Normandie vous propose de tester la politique de votre commune en faveur de la vie associative: Parmi les différents candidats aux élections municipales, lequel a réellement pensé à la question associative? Retrouvez les 20 engagements municipaux en faveur de la vie associative et faites le test de programme ou des actions communales sur la base de ces 20 engagements.
Plus information sur cette rencontre dans le fichier ci-dessous à télécharger.
Le Mouvement associatif, en partenariat avec le RNMA et Recherches & Solidarités, ont publié les résultats du troisième volet de l’enquête sur l’impact de la crise sanitaire sur les associations.
Au total 10 000 associations, dont près de 800 en Pays de la Loire, ont témoigné de leur situation, des impacts de la crise sur leur organisation, le bénévolat, le déroulement des activités, leurs préoccupations immédiates et leurs besoins.
A cette occasion, un webinaire de présentation des résultats et des initiatives prises par les associations pour s’adapter à un contexte changeant et incertain depuis plus d’un an a été organisé le mardi 8 juin à 17h.
Le Mouvement associatif, en partenariat avec le RNMA et Recherches & Solidarités, ont publié les résultats du troisième volet de l’enquête sur l’impact de la crise sanitaire sur les associations.
Au total 10 000 associations, dont près de 800 en Pays de la Loire, ont témoigné de leur situation, des impacts de la crise sur leur organisation, le bénévolat, le déroulement des activités, leurs préoccupations immédiates et leurs besoins.
A cette occasion, un webinaire de présentation des résultats et des initiatives prises par les associations pour s’adapter à un contexte changeant et incertain depuis plus d’un an a été organisé le mardi 8 juin à 17h.